Dynamique de l’Économie Sociale et Solidaire dans les pays du Nord et du Sud, cas de la France et du Bénin.
Grace à ses travaux, Ronnel FALANA présente le cadre général de l’Economie Sociale et Solidaire en France et son évolution entre 2014 et 2018. Il nous transmet un état des lieux dans les pays en développement. Il sort son premier livre : Économie d’hier et monde d’aujourd’hui qui fera outil de communication
Ronnel FALANA
Master 1, Conduite de Projet et
Diagnostic d’Entreprise
Le Cercle CONDORCET de ROANNE réaffirme son attachement aux principes de la loi du 9 décembre 1905 car cette loi laïque constitue l’un des fondements de la République. Il s’oppose à toute velléité de nature à vouloir la dénaturer.
On rappelle que la loi du 9 décembre 1905 établit :
la garantie de la liberté de conscience pour tous
la neutralité de l’État et son indépendance vis à vis des cultes,
le non-subventionnement des cultes, que ce soit par le salariat des représentants et officiants des cultes, par les versements directs de fonds publics ou par des dispenses d’impôt,
le libre exercice des cultes dans le cadre de la loi et le respect de l’ordre public.
Or, l’avant-projet de loi, communiqué cette semaine, vise notamment à subventionner des réparations et rénovations énergétiques de lieux de cultes postérieurs à 1905 (donc hors de la loi d’origine) et à faire bénéficier toutes les associations cultuelles de réductions d’impôts. Ceci en contrepartie de la présentation de comptes transparents.
Insidieusement, au-delà des avantages financiers ou fiscaux, l’avant-projet s’inscrit dans une démarche de reconnaissance des cultes qui est en contradiction avec la loi de 1905.
Le Cercle CONDORCET de Roanne déplore le fait que seule une concertation avec les cultes soit prévue par le gouvernement pour l’élaboration d’un projet de loi qui concerne pourtant tous les citoyens, religieux ou non.
Fidèle au principe de laïcité, le CERCLE CONDORCET DE ROANNE affirme son opposition à toute modification ou à toute remise en cause de la loi du 9 décembre 1905.
A voir ou à revoir :
La séparation écrit par Bruno Fuligni, réalisé par François Hanss .- Discours de clôture des débats de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat par Aristide BRIAND, député de la Loire
La laïcité se heurte à des traditions qui tentent de légitimer la domination masculine dans tous les domaines de la vie affective, familiale, sociale. Des interdits imposent un rapport au corps et à la sexualité qui brime la liberté des personnes et les culpabilisent, les enferment dans des représentations et des postures stéréotypées. Si les progrès du droit pour l’égalité sont notables, les mentalités peinent à s’émanciper. Il s’agit de trouver les moyens d’avancer vers une société de mixité et de partage, désirée par toutes et tous au nom de l’égale dignité des personnes.
Jacqueline Costa-Lascoux est Directrice de recherche au CNRS, associée eu CEVIPOF, Sc po Paris. Juriste, sociologue et psychanalyste, elle a notamment mené des recherches et publié des ouvrages sur l’immigration, la citoyenneté, la laïcité, la condition des jeunes, la parentalité. Elle a été présidente de la Ligue de l’Enseignement et de la Fédération nationale des écpoles de arents et des éducateurs (FNEPE). Elle est actuellement Vice -présidente du Cercle Condorcet de Lyon et administratrice à France Terre d’Asile.
LE MERCREDI 7 NOVEMBRE 2018 A 19 H Salle Pierre Henon à Mably
A l’occasion du centenaire de la fin de première guerre mondiale, le Cercle Condorcet apporte son soutien à la conférence de Jean Paul Nomale, historien régionaliste, organisée par l’Union Roannaise des Associations Laiques.
Maïté TAMAIN sera présente et participera au débat
« Quand j’arrive le matin, dans éle train, tout le monde me regarde… » En prononçant cette phrase Elodie est gênée et triste.
Elodie a 30 ans. Elodie aime prendre soin d’elle. Elle aime découvrir et essayer de nouvelles choses. Elodie aime sa famille et ses amis. Mais elle n’aime pas le regard des autres. Elodie est trisomique.
Elodie a 30 ans. Elodie aime prendre soin d’elle et découvrir de nouvelles choses. Elodie aime sa famille et ses amis. Mais elle n’aime pas le regard des autres. Elodie est trisomique.
Alors, Elodie s’inscrit à un atelier un peu particulier, bien décidée à prouver au monde entier ce dont elle est capable.
Elle rejoint le projet « Cirqu’en partage » qui invite quatre futurs professionnels du cirque et quatre personnes en situation de handicap à créer un spectacle ensemble.
L’occasion pour Elodie de progresser physiquement et de s’intégrer socialement. Le cirque devient un moyen de s’épanouir, la gestuelle d’abord hésitante devient de plus en plus gracieuse. Lentement, le groupe trouve son équilibre, son rythme. Si les appréhensions sont présentes au départ, elles disparaissent rapidement. Des répétitions au spectacle final, les membres de l’atelier trouvent en eux de nouveaux chemins pour arriver à leur but. Ils sont autrement capables.
Mardi 25 Septembre 2018 à 19 H – MAISON DU PORT – 2, rue des Charpentiers à ROANNE
Les théories de Karl Marx : quelques chemins pour une réévaluation
Par Philippe TROUVE
Professeur Associé au Groupe ESC Clermont
Directeur scientifique du Programme PEOPLE
« Tout ce que je sais, c’est que moi,
je ne suis pas « marxiste ». »
Karl Marx
Après une éclipse, voire un refoulement généralisé de plusieurs décennies, voici que la pensée de Karl Marx refait surface, non seulement comme phénomène « tendance » dans les medias, mais comme outil d’analyse crédible et acceptable de nos sociétés contemporaines dans les milieux scientifiques. Comment expliquer un tel retournement et dans quels domaines celui-ci fait-il aujourd’hui le plus sens ? C’est la question générale à laquelle l’intervenant invite à se confronter, d’abord en identifiant quelques grandes thèses développées par le philosophe allemand, ensuite en essayant d’évaluer leur destinée et leur puissance explicative et, enfin, en interrogeant la méthode qui sous-tend tout l’édifice. Le tableau d’ensemble qui en ressort est loin d’être univoque et péremptoire : tout n’est pas bon à jeter ni à sanctifier dans l’œuvre de Karl Marx. Mais, désormais extraites de la gangue idéologique et politique dans laquelle elles furent longtemps confinées tout au long du XXème siècle, ses principales théories apparaissent désormais sous un jour nouveau, propice sinon à un droit d’inventaire encore trop prématuré, du moins à un droit de penser hors des cadres d’analyse dominants pour mieux comprendre les temps présents.
Ciné débat – 13 juin 2018 – 20 H 30 – ESPACE RENOIR
organisé par :
le CERCLE CONDORCET – FRANCE LIBERTE – LA LIGUE DES DROITS DE L’HOMME – RESF
Grâce aux témoignages recueillis, les jeunes cosignent avec la Louce, Collectif d’artistes vidéastes, En quête d’un refuge, un film documentaire présenté pour la première fois le vendredi 23 mars dans le cadre de la Semaine contre le racisme, organisée par le Mémorial de la Résistance et de la Déportation de la Loire, des Semaines de l’Egalité, coordonnées par Saint Etienne Métropole, et de la Semaine Nationale d’Education et d’Actions contre le racisme et l’antisémitisme, DILCRAH.
Ce documentaire sera présenté par Gabrielle LAMBOURG représentant le porteur de projet LE MEMORIAL DE LA LOIRE
Lucie, Alexandra et Chloé, jeunes enquêteurs viendront vous faire part de leur expérience, accompagnés par les réalisateurs Marine DELCROIX et Vincent RUBIN
Enseignant chercheur en Economie et Génie Industriel
Responsable pédagogique dans un centre professionnel
« Préfet » du Journal FAKIR – Région Lyonnaise
« Quand un commentateur économique commence son argumentation par « tous les économistes sont d’accord pour dire que… », vous pouvez tout de suite éteindre le média en question ». Bernard Maris.
L’économie est une science sociale et surtout, politique. Las, nombre d’économistes et de commentateurs ont fini par oublier cette réalité pourtant simple qui devraient les amener à davantage d’humilité et de réserve avant de vouloir nous imposer ce qu’ils croient être des vérités alors que ce ne sont que des idéologies masquées sous un verni pseudo scientifique. La meilleure façon de se prémunir contre nombres des inepties véhiculées aujourd’hui par les chiens de garde du modèle actuel, est de se pencher sur l’histoire des pensées économiques et des fondamentaux sur lesquelles elles se sont construites.
Stéphane PAGANO
25 avril 2018 à 19 h à la Maison des Sociétés au Coteau
Transition numérique et conditions de travail
La transition numérique est un vaste sujet qui ne commence ni ne s’arrête aux frontières de l’entreprise. Nos environnements familiers ou publics pullulent d’objets technologiques. Ils ont envahi nos foyers depuis déjà quelques années. Mais aujourd’hui, les implications de cette transition numérique sur le monde du travail et de l’emploi inquiètent. Elles sont l’objet de controverses qui interrogent les fondamentaux du travail et bousculent les grands paradigmes.
Vincent Mandinaud, sociologue, chargé de mission à l’Agence Nationale pour l’Amélioration des Conditions de Travail, viendra apporter un éclairage sur les transformations en cours et présenter quelques clefs de compréhension des imbroglios sociotechniques qui se dessinent. L’enjeu: retrouver prises sur un phénomène trop souvent présenté comme naturel et indiscutable, alors même que les acteurs du travail sont amenés à réguler ces transformations et à négocier de nouveaux compromis productifs.